Le pendule de radiesthésie et l’église

En France, au XXè siècle, la plupart des grands radiesthésistes étaient des hommes d'Eglise

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En France, au XXè siècle, la plupart des grands radiesthésistes étaient des hommes d’Eglise

Outre l’abbé Bouly, auteur de nombreuses découvertes (cimetières mérovingiens, souterrains dans des châteaux, sources), citons l’abbé de Vallemont, l’abbé Bayard, les Révérends Pères Jurion, Kircher ou Bourdaux qui ont tous fait progresser, par leurs recherches, l’art du pendule ou de la baguette de radiesthésie.

« Un prêtre fait en général un bon sourcier car il est exercé, par son sacerdoce, à la méditation, à la prière et à la maîtrise de soi. »

Le plus célèbre de tous fut incontestablement l’abbé Alexis Mermet (1866-1937), l’inventeur du pendule en forme de goutte d’eau qui porte son nom (le plus vendu en France).

Selon lui, les éléments agissent sur le pendule en lui imprimant un nombre d’oscillations (c’est-à-dire les mouvements du pendule dans un même plan), suivies d’un nombre de rotations, toujours identiques.

Ainsi, pour l’or, on enregistrera toujours le même signal : 11 oscillations suivies de 11 rotations.

D’après l’abbé Mermet, ce chiffre 11 est caractéristique de l’or.

La méthode de l’abbé Mermet est donc simple : on identifie un corps à l’aide du pendule par la détermination de son chiffre invariable.
Voici les principaux chiffres trouvés par l’abbé Mermet :
– eau (7)
– pétrole (22)
– vin (le chiffre indiqué par le pendule est celui du degré d’alcool)
– lait (9)
– fer (4)
– argent (6)…