Le parking dû aux échecs
Certaines personnes se garent après un échec ou un rejet en se disant que ça ne sert à rien de continuer. Pourtant d’autres ont également connu des déboires, mais elles ne se sont pas garées à côté d’eux. Vous êtes tombé de nombreuses fois quand vous appreniez à marcher et vous vous êtes relevé, vous avez continué jusqu’au jour où vous avez marché.
Le parking dû aux succès
Après un événement réussi, nous sommes tentés de nous garer et de nous prélasser en nous disant : « Je l’ai fait, maintenant je vais m’arrêter un moment. »
Le parking dû aux chagrins
Certains se garent définitivement après un chagrin, une perte, un deuil. Après la mort et la résurrection de Jésus de Nazareth, un messager dit aux femmes éplorées :
« Maintenant, allez dire à ses disciples, et surtout à Pierre qu’il vous précédera en Galilée. Vous le verrez là-bas » (Marc 16:7).
Il ne faut pas se « parquer » et pleurer à côté des cendres, ceux que nous avons aimés ne sont pas au cimetière, les tombes ne contiennent que les enveloppes terrestres. Si nous voyons la vie comme Jésus l’a fait, alors nous traversons la vallée de l’ombre de la mort. On ne se gare pas là car la vie n’est pas un parking.
Il n’y a pas de place de stationnement dans sa foi en Dieu
Echecs, chagrins, réussite, deuil, quelque soit le motif, rappelez-vous que la vie n’est pas un parking. On ne peut pas se garer et la regarder continuer, il n’y a pas de place stationnement réservé, vous devez continuer d’avancer