Elizabeth II porteuse d’un témoignage inébranlable de foi en Jésus-Christ.
C’est en ces termes que l’évêque de Rome a rendu hommage la semaine dernière à la dernière reine du siècle décédée jeudi 8 septembre. Elizabeth II d’Angleterre, défenseur de la foi et gouverneur suprême de l’Église anglicane, de son titre officiel.
De son premier à son dernier discours de Noël, la reine parlait ouvertement de Dieu et des enseignements du Christ.
Elizabeth II a montré sa foi dès les préparatifs de son sacre, en choisissant l’abbaye de Westminster.
Elle avait tenu à ce que Charles et Camille se marient en la chapelle de Windsor, puisque l’Église protestante autorise les remariages des divorcés.
La reine n’assistait jamais aux mariages civils, mais toujours aux mariages religieux.
Elizabeth II avait reçu Jean-Paul II en 1982. Elle semble avoir été très impressionnée par son charisme, son combat, sa vie, sa victoire spirituelle et politique. En 2014, à Rome, elle a rencontré le pape François en compagnie du prince Philip.
La Reine Elizabeth avait une foi profonde très ancrée et respectait la foi des catholiques écossais. À tout point de vue, dans les problèmes familiaux ou les conflits religieux et sociaux, elle a toujours essayé de prôner l’apaisement.
La Reine d’angleterre accordait une grande importance aux cérémonies à la cathédrale Saint-Paul de Londres où ont lieu les funérailles des grands hommes politiques ou chefs militaires, comme celles de Sir Winston Churchill ou de l’amiral Nelson.
Comme chef d’État, la Reine Elizabeth envoyait un message de paix mais elle était quelqu’un qui ne montrait pas ce qu’elle pensait et dans sa vie spirituelle, elle veillait à ce que l’on observe des codes, des pudeurs.