De très nombreuses coïncidences entre la vie de Jésus et la mythologie divine bouddhiste ne peuvent pas être simplement l’effet du hasard
Les Esséniens, missionnaires bouddhistes avaient conservé les mystères sacrés du culte solaire, que nul des initiés, sous les peines les plus sévères, ne pouvaient révéler. Leur plus solennelle prière était la Savitri, hymne au soleil, telle qu’elle leur avait été léguée par les Védas, Manou, Zoroastre et Bouddha.
Telle fut aussi la doctrine secrète de Jésus lui-même, élève des Esséniens, l’on trouve dans l’histoire de Jésus divinisé la reproduction des fables de Christna, d’Osiris, de Mithra, de Bacchus, d’Orus, d’Adonis, etc., etc.
Jésus nait le 25 décembre minuit, jour où commence l’année solaire, à l’époque du solstice d’hiver, le jour où se célébrait la naissance de leur dieu soleil chez les Esseniens.
Sa mère est la vierge Marie, de même que les divinités de la mythologie attribuent pour mère au dieu soleil la vierge céleste réprésentée, dans leurs zodiaques, portant des épis dans sa main et allaitant un enfant. C’est cette vierge emblématique qui peut seule nous expliquer le mystère chrétien de l’incarnation de Jésus dans le sein d’une vierge qui n’a jamais connu d’homme, et qui demeure vierge après avoir enfanté.
Le père putatif de Jésus, Joseph, n’est autre que le Boottès, père nourricier d’Orus, qui, selon ces zodiaques, accompagne toujours la vierge.
Jésus naît dans une grotte servant d’étable, de même que Mithra, divinité indo-iranienne du IIe millénaire avant Jésus-Christ.
Ce sont des mages qui viennent adorer Jésus, ils offrent précisément à Jésus les trois choses consacrées au soleil l’or, l’encens et la myrrhe. C’est par l’astrologie qu’ils ont connu la naissance de l’enfant-dieu.
Ils ont vu son étoile à l’orient, c’est-à-dire l’astre dont il est l’emblème et c’est précisément au solstice d’hiver qu’ils découvrent cette étoile, époque à laquelle le soleil semble reprendre sa course pour venir, à l’équinoxe du printemps, donner une nouvelle vie à nos climats.
Figure au zodiaque, dans le bouclier de Persée, la constellation Orion composée de trois brillantes étoiles appelée les trois mages.
La fête des lumières, qui se célébrait à Saïs, en l’honneur d’Isis, la vierge céleste, dont on faisait la mère du soleil, est devenue chez les chrétiens la fête de la Purification de la vierge Marie, mère de Jésus, sous le nom de Chandeleur ou fête des Lumières.
L’assomption ou fête du passage de la vierge, que nous célébrons au milieu d’août, correspond au moment où le signe de la vierge céleste se trouve réuni au soleil, à l’époque de sa plus grande élévation sur notre horizon, et où il semble absorber la vierge dans sa gloire.
Jésus meurt à l’équinoxe du printemps, dans le signe de l’agneau, et ressuscite trois jours après, comme Mithra et les autres dieux sous les noms desquels l’antiquité a adoré le soleil.
Bien que dans les allégories primitives le soleil fût censé mourir réellement au solstice d’hiver, au moment où il descend aux enfers, c’est-à-dire â l’époque où il est le plus éloigné de nous, les anciens dans leurs mystères sacrés, ont réuni les cérémonies de la mort de leur dieu, de son ensevelissement, de sa descente aux enfers et de sa résurrection et les célébrent à l’équinoxe du printemps.
En cela, les évangélistes n’ont fait que copier ce que l’antiquité avait consacré par ses usages.
Les évangélistes eux-mêmes ont pour emblèmes les quatre animaux du zodiaque, qui correspondent aux quatre points cardinaux Mathieu, le lion; Marc, l’homme; Luc, le taureau, et Jean, l’aigle.
Jusqu’au temps où par la précession des équinoxes, le soleil a rétrogradé du signe du Taureau dans celui de l’Agneau, c’était le Taureau qui, à l’équinoxe du printemps, devenait l’emblème du soleil; mais à dater du moment où le soleil a passé dans le signe du Bélier ou de l’Agneau, c’est cet animal que l’on immole à cet équinoxe, c’est l’agneau qui devient l’emblème du soleil et par conséquent il deviendra également celui de Jésus.
C’est sous cette figure qu’il est représenté dans tous nos monuments religieux.
Lorsque le soleil, quittant l’hémisphère austral, revient rendre la vie au nôtre, il est appelé le médiateur, le réparateur, le sauveur, parce qu’il a pour mission de venir réparer le désastre que les rigueurs de l’hiver ont fait subir à la nature, c’est-à-dire, allégoriquement, le mal physique.
De même Jésus est le médiateur, le sauveur, le réparateur du mal dans lequel est plongé l’humanité mais chez les chrétiens, il ne s’agit plus d’un mal physique, mais d’un mal moral. Là est toute la différence entre les deux fictions; le mysticisme a substitué l’un à l’autre.
Jésus a institué douze apôtres. Le nombre douze se répéte un très grand nombre de fois dans la bible: les douze mois de l’année, les douze patriarches, fils de Jacob, les douze tribus d’Israël, de même que l’antiquité avait ses douze grands dieux, ses douze mois et les douze signes du zodiaque.
Luc donne à Jésus soixante-douze disciples, nombre multiple de douze, correspondant à une sous-division zodiacale.
Jésus fait douze stations pour aller mourir sur la croix.
Le nombre sept se retrouve aussi fréquemment dans la bible et dans le nouveau testament que dans les théogonies de l’antiquité.
Il y a sept sacrements, sept péchés capitaux, sept dons du saint-esprit, NotreDame-des-Sept-Douleurs.
Ce chiffre qui, dans les allégories primitives, n’exprimait que le nombre des planètes, est devenu un chiffre cabalistique.
De tous les ouvrages du Nouveau-Testament, celui dans lequel ce chiffre revient le plus fréquemment est l’Apocalypse de Jean.
De nos jours nous retrouvons dans le culte chrétien des cérémonies dont l’origine remonte bien au-delà du christianisme.